Colette Césaire
Catégorie(s) : Ils ont séjourné ici
France
Du 05 au 12 mai 2024
Discipline
Théâtre, littérature
Biographie
Colette Césaire est née et vit à la Martinique. Elle est professeure certifiée de lettres modernes, autrice, comédienne, spécialiste de l’œuvre d’Aimé Césaire. Son travail consiste non seulement en une analyse méticuleuse de l’écriture césairienne, mais aussi en des mises en voix et en scène des textes du poète, dramaturge et homme politique martiniquais, qu’elle considère comme un génie de la littérature et comme un penseur de première importance.
En 2023, pour célébrer les 110 ans de la naissance d’Aimé Césaire, Colette Césaire a conçu et mis en œuvre, avec sa société Tête Haute Et Noire, l’hommage-événement intitulé "Nous, laminaires. 1913-2023". Elle est aussi l’autrice du livre illustré Les Histoires merveilleuses de l'Hippocampe. Poèmes pour les petits et les grands. (Seuil Jeunesse). Cette résidence s'intègre au mois des mémoires, organisé par la Ville de La Rochelle, membre fondateur de la Fondation pour la Mémoire de l'Esclavage.
Les rendez-vous
07 mai à 18h au Carré Amelot, salle Le Labo
Rencontre avec Colette Césaire, suivie d’un temps de dédicace, autour de l’œuvre Les Histoires merveilleuses de l'Hippocampe. Poèmes pour les petits et les grands. (Seuil Jeunesse)
10 mai à 18h à la Maison des Écritures
Lecture théâtralisée de Colette Césaire intitulée Cahier d'un retour au pays natal, un texte marron.
Entrée libre et gratuite - Réservation conseillée à l’adresse suivante : maison.des.ecritures@ville-larochelle.fr
Du 01 avril au 09 juin (du mar. au dim.) à l’Espace d’art contemporain de Royan, Voûtes du Port, Quai Amiral Meyer
Exposition collective « Nous, laminaires », présentée par Captures, imaginée par Colette Césaire, et soutenue par la Fondation Clément de Martinique.
Partenariats
Cette résidence s'effectue en partenariat avec l'agence Captures, espace d’art contemporain à Royan, dans le cadre du Mois des Mémoires de la Ville de La Rochelle, avec le soutien de la Fondation Clément.
© Nicolas Derné